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Championnats de France Master 2025 à Brive : premiers frissons pour un quatre de couple mixte prometteur

Sophie Bailleux, Lionel Bailleux, Yvain Soulier, Stéphanie Sihou

Brive-la-Gaillarde – Sous un soleil implacable, le bassin corrézien a accueilli ce week-end un équipage de quatre de couple mixte master engagé dans sa toute première expérience nationale.

Avec peu d’entraînements mais beaucoup d’envie, ce jeune collectif a affronté les championnats de France avec une stratégie prudente et une belle énergie.

Dès les premiers coups de rame, les intentions étaient claires : faire une course propre, sans se brûler les ailes. Un pari réussi dans une série relevée.

À la bataille pour la 3ème place pendant 900 m, une fausse pelle est venue rompre le rythme, mettant à mal tous les efforts pour accéder en finale B.

Loin de céder, l’équipage a su se ressaisir dans l’effort pour reprendre sa progression.

Résultat : une cinquième place, performance modeste sur le papier mais qui vaut bien plus en expérience, en cohésion et en perspectives. « C’était une course volontaire, lucide. On sait ce qu’on vaut et on sait où on veut aller », confie un membre du bateau.

Le rendez-vous est pris : ce quatre mixte, encore en construction, a montré qu’il faudra compter sur lui à l’avenir.

Charlotte et Sophie

Championnats de France Master 2025 à Brive-la-Gaillarde : les rameuses de l’ACB continuent de briller.

À une semaine de la cérémonie organisée par la mairie de Bourges pour célébrer les athlètes de la ville, les rameuses du club d’aviron Alice Milliat ont une nouvelle fois fait honneur à leurs couleurs.


L’équipe féminine Master, engagée aux Championnats de France à Brive-la-Gaillarde
dans un bateau prêté par le club d’Orleans, a décroché la médaille de bronze dans sa
catégorie, signant ainsi une troisième performance consécutive sur le podium national.

De gauche à droite :

Valérie Cardin, Dominique Bardary, Sophie Bailleux, Stéphanie Sihou


Une telle régularité à ce niveau témoigne non seulement de la volonté, de la rigueur mais aussi du travail assidu et de la cohésion de ce collectif berrichon.


Ce nouveau succès donne une résonance toute particulière à la réception en mairie
prévue la semaine prochaine, où l’équipe sera saluée comme il se doit par la ville et ses
habitants.


Après cette belle performance, un peu de repos est bien mérité. Mais les rameuses ne
resteront pas longtemps loin de l’eau : dès la reprise des entraînements, elles auront en
ligne de mire les Championnats du Monde Masters à Bañolas, en Espagne, programmés pour septembre prochain. L’aventure continue — avec toujours autant de passion et d’ambition.

Charlotte et Sophie


Deux rameurs du Centre Val de Loire brillent aux Championnats Master Aviron

Teddy Nigon et Cyril Banse

Sous une chaleur accablante, les Championnats de France Master ont réuni les passionnés de l’aviron venus de tout l’hexagone, du 27 au 29 juin 2025. Parmi eux, deux rameurs du Centre Val de Loire se sont illustrés tant par leur engagement sportif que par leur esprit d’équipe : Teddy et Cyril.

🔥 Un niveau relevé, des conditions éprouvantes

Avec la présence de six internationaux dans leur catégorie, l’édition 2025 a offert un plateau particulièrement dense. Malgré des températures élevées qui ont mis les organismes à rude épreuve, Teddy et Cyril ont su faire preuve de ténacité, livrant une performance en parfaite adéquation avec leur préparation.

🤝 Un duo complice et déterminé

Alignés ensemble dans leur embarcation, les deux coéquipiers ont montré une belle complémentarité. « On rame à l’unisson, mais c’est surtout une histoire d’amitié. On se connaît par cœur et c’est ce qui fait la différence », confie Cyril. Teddy ajoute avec humour : « Quand l’un fatigue, l’autre serre les dents pour deux ! »

🏅 Un week-end fort en émotions

Au-delà de la course, les deux rameurs retiennent surtout l’ambiance conviviale du week-end. Encadrés par leur club, ils ont profité d’un moment fort entre amis, où le dépassement de soi rime avec éclats de rire et soutien mutuel. « C’est ce genre de week-ends qui nous rappellent pourquoi on rame, même sous 35 degrés », conclut Teddy en souriant.

Charlotte